Franck Tordjmann réalise egalement des compositions photos originales autour des grandes villes :Paris, New York, Londres..
Les symboles de ces capitales se fondent librement, se mélangent , se superposent pour créer une ville nouvelle : onirique et magique.
Au fil des années et des expositions, il ne cesse de se renouveler mais toujours en poursuivant son concept de mémoire des objets que ce soit avec des « bouquets d’instruments », sculptures réalisées avec de véritables saxophones ou trompettes ou en travaillant sur des affiches originales du cinéma . Ces affiches lacérées des plus grands chefs d’œuvres nous font voir sous un autre angle « Le Parrain » ou « Autant en emporte le vent ».
Franck Tordjmann a exposé dans le monde entier : Paris, Saint Paul de Vence, Honfleur, Megève, Courchevel, Cannes ,New York, Napeuls, Singapour , Knok le Zout, Luxembourg , Jérusalem..
Exposition permanente à Paris en exclusivité dans les galeries Art Symbol Place des Vosges et dans les galeries Saint Martin à Arcachon,Megève, Courchevel, le Pyla et Saint Tropez.
Depuis 2003, il est coté chez Drouot, vendu à Drouot Montaigne ,Art Curial et fait partie de nombreuses collections dans le monde.
( Etats Unis, Russie, Australie, Belgique, Royaume Uni .. )
De nombreuses personnalités françaises et étrangères possèdent l’une de ces oeuvres : Shimon Peres, Nicolas Sarkozy, Woody Allen, Madonna, Jean-Jacques Goldman, Johnny Halliday,Patrick Bruel, Nagui, Gilbert Montagné, Tomer Sisley , Steve Suissa, Gad Elmaleh
Franck Tordjmann est le deuxième artiste français après Marc Chagall à être entré à la Knesset, le Parlement israélien. L’un de ses tableaux issu de la collection « Les Grands Hommes d’Israël » y est exposé en permanence depuis 2006.
Texte de Stéphane Desprez sur les sculptures de Franck Tordjmann
La musique, comme un air impalpable, s’écoute et s’évapore. Nous rêvons parfois de pouvoir la capturer, la figer. Pour la rendre éternelle, intemporelle. Franck Tordjmann réalise ce rêve au travers d’une série de sculptures où les instruments et la musique prennent la pose dans un écrin de plexiglas, figeant leurs lignes et leurs reflets, piégeant ainsi leurs mélodies. La transparence se joue de la lumière et nous pourrions presque imaginer ces instruments danser, voler, briser leur forteresse pour libérer leur âme musicale. C’est un travail d’une maîtrise remarquable d’un artiste, peintre également, qui sait délaisser la toile pour s’adonner aux volumes autour de sculptures énigmatiques. Après le bronze où il a su rendre hommage aux artistes du Nouveau Réalisme dont il s’inspire, Franck Tordjmann nous offre des œuvres uniques faites de bois et de plexi dont se dégage un vrai sentiment de sérénité poétique.